Kelam a écrit:Mais comme d'habitude, les patients sont passés à la trappe. La réflexion sur la limite entre vie privée et vie intime n'est pas poussée très loin, dommage.
Hum, pas d'accord. La patiente avait un screen-time de base. On a connu plus anecdotique.
Quant à la réflexion vie privée/vie pas privée, elle a était traité via le spectre Internet (en même temps, à part gueuler tout nu à sa fenêtre, quel autre moyen pour s'exposer au monde sans être un homme politique ou une célébrité ?).
Seule différence avec ce qui se fait d''habitude sur le sujet ? Pas de conclusion classique qui veut que les blogs, c'est le MAL, que ça attire les pervers et les pédophiles, et que les no-lifes feraient mieux de sortir faire du vélo et parler avec des vrais gens.
Je m'attendais, à la toute fin, à ce que la patiente repose l'ordinateur que lui tend son mari (magnifiquement interprété par Tchéky Karyo :mdr: ), comprenant ses erreurs passées, le regard des autres, tout ça.
Mais comme quand l'équipe traite un flic, un prof, un athlète... ici, faire un blog, c'est son hobby/travail : il sert de piste au diagnostic (dans le cas présent, en les renseignant - ou non - sur sa vie quotidienne), mais n'est pas présenté comme un problème qu'il faudra abandonner pour vivre plus longtemps.
Les types qui parlent de leur vie entre bloggeurs, y'en a des tas, c'est plus une surprise. Alors autant traiter ça sans juger (juger quoi, d'ailleurs ? entre amis, autour d'un kawa, on parle aussi de sa vie privée), et s'en servir pour un scénar' ^^ :)